vendredi 20 octobre 2017

Comment ne pas tuer une araignée

Alex EPSTEIN

Quatrième de couverture

Ouvrage traduit de l'hébreu par Rosie Pinhas-Delpuech. 

« Quand je commence à écrire une histoire très courte, 
je l'imagine toujours comme un roman. 
Et dans un univers parallèle, 
il existe peut-être un écrivain fou 
qui est actuellement en train d'écrire ces romans. » 
A. Epstein. 

« Les textes d'Alex Epstein sont un écho virtuose 
et original à la grande tradition de la littérature mondiale,
 comme si la tension entre le classique et l'inspiration improvisée 
créait dans l'esprit du lecteur l'équivalent littéraire 
d'un croisement entre Mozart et Miles Davis. » 
Etgar Keret. 

Alex Epstein est né en 1971 en Russie. 
Il vit en Israël depuis l'âge de huit ans. 
(source éditeur)


J'ai été surprise par la forme même de l'ouvrage… pas vraiment des nouvelles, des histoires plus ou moins courtes…
La plus courte: (peut-être?!?)
"À débattre:
Même le dernier homme au monde 
écrit un roman."
La plus longue doit faire plus ou moins quatre pages.

J'ai souri parfois, été intriguée quelquefois!
Mais il m'est arrivé de ne pas comprendre, de relire, de lire à un tiers pour avoir son avis… pour le moins aussi dubitatif que le mien.
C'est une lecture originale, un mélange de surréalisme, de poésie, d'absurde que j'ai beaucoup aimé. Se laisser aller au fil des mots, ne pas se prendre la tête ou se creuser la cervelle pour aller plus loin avec l'auteur ( la Shoah est très présente).
Le titre de l'ouvrage est aussi le titre de la dernière histoire du recueil.

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