jeudi 25 septembre 2014

Les cathédrales du vide

Henri LOEVENBRUCK

Couverture: Flamidon (J'ai lu)

Quatrième de couverture

Une mystérieuse organisation internationale protectrice de l’environnement s’empare de plusieurs régions du globe, à la recherche d’un secret millénaire, qui pourrait menacer l’ordre géopolitique de la planète. Ari Mackenzie, ancien des renseignements généraux, alerté par une série d’inexplicables disparitions, décide de mener l’enquête. Existerait-il un lien entre les étranges recherches de cette organisation et les occultes découvertes de Nicolas Flamel, célèbre alchimiste du Moyen Age ? 
Le commandant Mackenzie va devoir se mesurer aux ténèbres. Une enquête dangereuse, la dernière peut-être…

Dans la jungle amazonienne un homme meurt.
Dans un bar de Paris, Ari Mackenzie, boit. Il est dépressif et ne se remet pas d'avoir du arrêter sa dernière enquête pour cause de "secret d'état" (Le rasoir d'Ockham).
Depuis le moyen âge, Nicolas Flamel nous écrit la vérité sur la légende qui entoure son nom.
Trois cambriolages au sein de l'équipe de Mackenzie et notre héros et ses compagnons , Iris Michotte et Krysztov Zalewski vont reprendre l'enquête. 
Je n'ai guère repris mon souffle en lisant ce roman.
D'assassinats en Suisse, d'enquêtes sur des organisations protectrices de la nature, de disparitions de savants, d'apparition de services secrets européens, de luttes dans la jungle équatorienne... rien ne manque pour tenir le lecteur en haleine.
Le récit de Nicolas Flamel revient régulièrement, nous reprenons notre respiration et nous lisons, serein ce récit tout droit venu de moyen-âge, ce temps des bâtisseurs des cathédrales, ce temps de l'obscurantisme et de l'alchimie.
Et cette cathédrale, au milieu de nulle part. 
Je n'ai pas été déçue par ma lecture, il va falloir que je "regarnisse" ma PÀL en Loevenbruck, parque je n'en resterai pas là avec cet auteur.

2 commentaires:

  1. Un auteur qu'il faut que je découvre ;)
    Bon week-end !

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    Réponses
    1. Comme j'aime Loevenbruck, j'ai tendance à dire oui, oui, oui...il faut.
      C'est de parti pris ça quand même.
      Bon dimanche à toi.

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